En se promenant à travers le « labyrinthe » des rues étroites du Vieux-Nice, les touristes finissent par se trouver sur une petite Place de Jésus, où se trouve une magnifique ancienne église Catholique de Saint Jacques le Majeur (Église Saint-Jacques-le-Majeur de Nice, dite aussi l'église de Jésus).
TLe clocher de l'église, en simple brique (sa hauteur est de 42 mètres) ne peut être vu, que de la rue voisine de Croix. Ne soyez pas paresseux pour aller là-bas, pour regarder son dôme inhabituel, recouvert de tuiles colorées, typiques de Nice - sa forme ressemble à un drôle de chapeau « tricorne ».
Le temple, peint en couleur éclatante bleue violacée, se dresse sur la place, où il y a aussi une boutique, une boulangerie et un petit restaurant. On croit, qu'il fut le premier bâtiment de la ville, construit dans le style baroque (après son apparition, une sorte de « révolution architecturale » commença à Nice, qui peut être jugée par le nombre de façades baroques de bâtiments dans les vieux quartiers).
L'église porte maintenant le nom de Saint-Jacques-le-Majeur (Saint-Jacques est appelé « le-Majeur », soulignant ainsi qu'il fut le frère aîné de l'évangéliste Jean, l'apôtre).
Le temple fut anciennement appelé la chapelle de Jésus - en 1612, les Jésuites (appelés une Compagnie de Jésus) ont commencé à construire une église là. Un riche marchand de Nice, donna de l'argent pour la construction du collège des Jésuites, et il a été décidé à joindre la chapelle au collège pour ce montant. (Afin d’obtenir le terrain pour la construction, les Jésuites achetèrent des maisons locales pendant des plusieurs années. Et la première future pierre du temple fut posée en 1607). Des principaux travaux de construction (sur le projet furent effectués avec une forte probabilité, par l'architecte Jean-André Guibert) furent achevés en 1650.
La chapelle de Jésus fut rebaptisée en église paroissiale de Saint Jacques, après la persécution des Jésuites (en 1773 l'Ordre fut aboli par le pape Clément XIV, et un an plus tard, les Jésuites furent expulsés de Nice).
Bien que l'Ordre des Jésuites fut rétabli en 1814, quant à la chapelle, elle ne fut pas leurs retournée. En 1825, la façade du temple fut légèrement modifiée – elle acquiert quelques-unes des caractéristiques du style néo-classique, restant tout de même baroque. L'église semble très attrayante - appréciez la combinaison agréable de murs de couleur bleu-violet avec une bordure jaune pâle, une fenêtre palladienne typique, des pilastres corinthiens, des guirlandes de fleurs, dans l'esprit maniériste, des statues dans les niches et bas-relief d'un fronton triangulaire...
Cette petite église semble, soudain, assez spacieuse à ceux, qui entrent à l’intérieur. Les visiteurs admirent la splendeur de l'intérieur, le riche décor, dont est typique du style baroque, admirent le stuc et la dorure. (Dans le temple, il y a plus de 150 images de chérubins et des anges, la voûte de la nef est décorée des fresques, représentant la vie du Christ et de l'apôtre Jacques, faits au XIXème siècle d’après les dessins de l'artiste local Hercule Trachel).
Une occasion de voir la statue de la Vierge Marie, dans la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs, attire également des touristes dans le temple. (Elle est représentée avec un poignard dans le cœur, qui fait référence à l'Évangile de Luc : « Syméon les bénit et dit à Marie, sa mère : « Vois ! Cet enfant doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction, - et toi-même, une épée te transpercera l’âme ! -- afin que se révèlent les pensées intimes de bien des cœurs. » »
(Luc 2,34-35).
Le temple, peint en couleur éclatante bleue violacée, se dresse sur la place, où il y a aussi une boutique, une boulangerie et un petit restaurant. On croit, qu'il fut le premier bâtiment de la ville, construit dans le style baroque (après son apparition, une sorte de « révolution architecturale » commença à Nice, qui peut être jugée par le nombre de façades baroques de bâtiments dans les vieux quartiers).
L'église porte maintenant le nom de Saint-Jacques-le-Majeur (Saint-Jacques est appelé « le-Majeur », soulignant ainsi qu'il fut le frère aîné de l'évangéliste Jean, l'apôtre).
Le temple fut anciennement appelé la chapelle de Jésus - en 1612, les Jésuites (appelés une Compagnie de Jésus) ont commencé à construire une église là. Un riche marchand de Nice, donna de l'argent pour la construction du collège des Jésuites, et il a été décidé à joindre la chapelle au collège pour ce montant. (Afin d’obtenir le terrain pour la construction, les Jésuites achetèrent des maisons locales pendant des plusieurs années. Et la première future pierre du temple fut posée en 1607). Des principaux travaux de construction (sur le projet furent effectués avec une forte probabilité, par l'architecte Jean-André Guibert) furent achevés en 1650.
La chapelle de Jésus fut rebaptisée en église paroissiale de Saint Jacques, après la persécution des Jésuites (en 1773 l'Ordre fut aboli par le pape Clément XIV, et un an plus tard, les Jésuites furent expulsés de Nice).
Bien que l'Ordre des Jésuites fut rétabli en 1814, quant à la chapelle, elle ne fut pas leurs retournée. En 1825, la façade du temple fut légèrement modifiée – elle acquiert quelques-unes des caractéristiques du style néo-classique, restant tout de même baroque. L'église semble très attrayante - appréciez la combinaison agréable de murs de couleur bleu-violet avec une bordure jaune pâle, une fenêtre palladienne typique, des pilastres corinthiens, des guirlandes de fleurs, dans l'esprit maniériste, des statues dans les niches et bas-relief d'un fronton triangulaire...
Cette petite église semble, soudain, assez spacieuse à ceux, qui entrent à l’intérieur. Les visiteurs admirent la splendeur de l'intérieur, le riche décor, dont est typique du style baroque, admirent le stuc et la dorure. (Dans le temple, il y a plus de 150 images de chérubins et des anges, la voûte de la nef est décorée des fresques, représentant la vie du Christ et de l'apôtre Jacques, faits au XIXème siècle d’après les dessins de l'artiste local Hercule Trachel).
Une occasion de voir la statue de la Vierge Marie, dans la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs, attire également des touristes dans le temple. (Elle est représentée avec un poignard dans le cœur, qui fait référence à l'Évangile de Luc : « Syméon les bénit et dit à Marie, sa mère : « Vois ! Cet enfant doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction, - et toi-même, une épée te transpercera l’âme ! -- afin que se révèlent les pensées intimes de bien des cœurs. » »
(Luc 2,34-35).